Monsieur le Président, les changements climatiques continuent de constituer une menace pour notre avenir et coûtent des milliards de dollars à l'économie canadienne. Or, les conservateurs continuent de se soustraire à l'obligation d'agir.
Le premier ministre a promis de réglementer les émissions du secteur pétrolier et gazier. Pendant des années, il nous a répété d'attendre la réglementation. Puis, un jour, le premier ministre a décidé que son propre plan était insensé. Malgré leur promesse d'un système de plafonnement et d'échange lors de la campagne électorale de 2008, les conservateurs se disent maintenant contre toute mesure à l'égard de la crise climatique.